Voici un petit panel de passages délectables que j'ai relevé pour vous dans le tome 7 des "Vampires de Chicago"
-Sans vouloir te
manquer de respect, une Aston Martin toute neuve ne te convenait pas ? C’est
la voiture de James Bond !
-Je ne suis pas
James Bond, rétorqua-t-il d’un ton malicieux. J’adorais ma Mercedes. Elle m’allait
très bien. L’Aston… ne m’allait pas.
-Alors tu l’as échangée ?
conclu-je avant d’ouvrir ma portière ? Est-ce que tu traites tes petites
amis de la même façon ?
- Oui, confirma
Ethan avec gravité ; Et j’ai passé quatre cent ans à faire des essais
avant de te rencontrer.
C’était grâce à
des commentaires comme celui-là que je restais avec Ethan, alors qu’il pouvait
se montrer insupportable. Il en laissait filtrait juste assez dans la
conversation pour me faire fondre.
Chloé
Neill, Les vampires de Chicago, tome
7, p.45
Lorsqu’un
tonnerre d’applaudissements retentit sur la galerie, je me penchai par-dessus
la balustrade pour observer Ethan pénétrer dans la salle, vêtu d’un Kimono noir
fermé par une ceinture à la taille. Pieds nus, il avait noué ses cheveux sur la
nuque à l’exception d’une mèche blonde qui lui retombait sur le visage.
Une bouffée de
fierté m’envahit. Cet homme qui irradiait la puissance et l’assurance était
tout à moi.
-Franchement, bien
joué, chuchota Linsey à mon intention.
-Oui, hein ?
Une fois sur le
tatami, Ethan sautilla sur la pointe des pieds, les bras tendus au-dessus de sa
tête, tout en me cherchant du regard sur le balcon d’une manière assez peu
discrète. Quand nos yeux se croisèrent, je lui adressai un clin d’œil en signe
de soutien.
-Ecrase-le, grand fauve, l’encourageai-je
par télépathie.
-Tu ne devrais pas être en train de travailler ?
répliqua-t-il.
-Si.
Mais le monde extérieur me déprime ; j’ai bien besoin d’une distraction.
Allez, vas-y, impressionne-moi, maintenant.
Chloé
Neill, Les vampires de Chicago, tome
7, p.137-138
Bien entendu,
avant de le suivre, je pris le temps de partager le scoop de la soirée avec
Mallory en lui envoyant un bref texto : « Ethan mange toast avec fourchette .»
Il lui fallut un
moment pour répondre : « Dark Sullivan = play-boy prétentieux. »
Franchement, je
ne pouvais pas la contredire. Et j’adorais reprendre mes conversations avec
elle.
Chloé
Neill, Les vampires de Chicago, tome
7
arffffffff!Merci pour ces extraits délectables!....
RépondreSupprimerj'adore
RépondreSupprimer