jeudi 1 mai 2014

Challenge citation, mois de mai

Place aux extraits de mai 2014


Voici le moment de mettre vos extraits ou citations pour le ''Challenge ou Battle'' de mai 2014

Challenge Citation




25 commentaires:

  1. -Ce n'est pas la question.Tu veux t'en aller ou tu veux rester?
    Elle se leva pour aller rincer son bol.
    -J'aime bien me ballader dans cette ville,j'apprécie ce que j'y vois, les gens qui me saluent ou viennent me dire un mot.J'aime entendre Linda Gail rire en prenant ses commandes, et Pete chanter en faisant la vaisselle.
    Elle s'adossa à l'évier.
    -L'air est pur ici;d'un jour à l'autre, la prairie va refleurir.Mais ce n'est pas le seul endroity où les paysages sont beaux et les habitants aimables.Sauf que tu n'es qu'ici.Alors, oui, je veux rester.
    A son tour, il se leva pour la rejoindre etr, d'un geste plus tendre qu'elle ne l'autait cru capable, il lui dégagea le visage.
    -C'est ce que je veux moi aussi.que tu restes.
    Quand il l'embrassa, doucement, tout doucement, elle l'entoura de ses bras.Ensemble, ils sortirent de la cuisine, serrés l'un contre l'autre.
    -Fais-moi plaisir, souffla-t-elle.
    -C'était bien mon intention.
    -Non, sourit-elle.Fais-moi plaisir,répète-moi que tu veux que je reste.
    Avec un baiser,il l'entraîna dans le living.
    -Je veux que tu restes.

    extrait de Le refuge de l'Ange de Nora Roberts,page 242(ma lecture ce la semaine..entre autre)

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  2. Je suis tombée amoureuse pendant qu'il lisait, comme on s'endort : d'abord doucement et puis tout d'un coup.
    Extrait Nos étoiles contraires John Green

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    1. Ah là là, je viens de le terminer, et j'aurai pu relever toutes les phrases

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  3. " Curran essuya l'humidité qui gouttait de son menton.
    _ Non merci. J'apprécie l'offre et tout et tout, mais il est temps de partir.
    _ Vous êtes une femme très occupée!
    _ Quelque chose comme ça.
    _ Vous êtes sûre de ne pas avoir envie de me rejoindre dans la cuve? L'eau est bonne.
    Je clignai des yeux, muette. Curran éclata de rire, Il s'amusait comme un fou.
    _ Heu...non réussi-je à dire
    _ Vous ne savez pas ce que vous ratez.
    Etait-il en train de me draguer ou de ce foutre de ma gueule? Je penchais pour la deuxième option. Moi aussi je pouvais jouer à ce petit jeu ! Je regrdai directement son entrejambe.
    _ Je vois très bien ce que je rate.
    Extrait Kate Daniels. Tome 1 Morsure Magique

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  4. -Pourquoi tu me regardes comme ça?
    Augustus a eu un petit sourire.
    -Parce que tu es belle. J'aime regarder les gens beaux et, depuis un certain temps, j'ai décidé de ne me refuser aucun petit plaisir de la vie.
    Un drôle de silence s'est installé. Augustus a poursuivi dans la même veine.
    -D'autant plus que, comme tu l'as délicieusement fait remarquer, tout ceci tombera dans l'oubli.
    Je me suis esclaffée, à moins que je n'aie soupiré ou repris ma respiration, le tout dissimulé derrière une quinte de toux.
    -Je ne suis pas bel...
    -Tu es belle comme Nathalie Portman. Nathalie Portman dans V pour Vendetta.
    -Je ne l'ai pas vu, ai-je dit.
    -Ah bon? s'est-il étonné. Fille sublime, cheveux courts, déteste l'autorité et ne peut s'empêcher de craquer pour le garçon qui ne lui apportera que des ennuis. Ta bio, en somme.

    "Nos étoiles contraires"

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  5. A chaque fois que Bandit t'appelait colombe,j'avais envie de lui mettre mon poing dans la figure.Tu n'es pas un petit oiseau gris,trèfle.
    Tu es la plus belle lumière du monde.
    Enclave tome 3.

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  6. A chaque fois que Bandit t'appelait colombe;j'avais envie de lui mettre mon poing dans la figure.Tu n'es pas un petit oiseau gris,Trèfle.
    Tu es la plus belle lumière du monde.
    Enclave tome 3.

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  7. -Ah oui? Pourtant il paraît que tu sais vraiment bien la manier, ton épée. Qu'elle embroche avec puissance et vigueur.
    Sa voix était dégoulinante de sous-entendus.
    Je ne sais pas pourquoi, mais j'avais super chaud d'un seul coup.

    Indiana Teller, Tome 4, Lune d'hiver.

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  8. Il faut que vous me sortiez de la tête. Vous ne pouvez pas être ma première et ma dernière pensée de la journée pour le restant de mes jours. C'est malsain.
    Extrait Quand souffle le vent du nord. Daniel Glattauer.

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  9. Alily je t'envois la photo du Sawp ...dans la journée.si je n'y arrive pas je te fais signe!Je croise les doigts,lol!

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    1. photos Swap envoyés..et on se demande pourquoi il pleut...

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    2. oup's et en plus je ne suis pas au bon endroit pour le com!...Bon c'est clair j'ai fais un exploit fallait bien que je me plante sur autre chose,lol!

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  10. Ma sœur était psychiatre, ce qui voulait dire qu'elle s'occupait des problèmes de tout le monde, mais pas des siens. nous étions pareilles, en ça comme une dizaine d'autres points. En revanche, on ne se ressemblait pas physiquement. J'étais brune avec des yeux dorés, alors qu'elle possédait cette beauté classique de blonde aux yeux bleus qui faisait battre le cœur des hommes. Moi aussi, je faisais battre le cœur des hommes, mais je le devais uniquement à mon incroyable talent. Toutes ces choses que je pouvais faire avec ma bouche.

    Charley Davidson, tome 3

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  11. Lentement, Kheir se retourna et revint vers moi.
    -J'aurai dû m'en douter,dit-il en me coiffant d'un regard fier.Dès cet instant où tu m'as défié à Fort Cascade,sur la place du marché,j'aurai dû le deviner.Il y a plus de d'honneur et de détermination dans une faible femme xyiane que dans toute une armée ....
    -Faible?répétai-je?,un sourcil arqué.
    Cela le fit sourire.Levant la main,il la posa en coupe contre ma joue.
    -Kheir...repris-je avec conviction,abandonner ces gens à leur triste sort constituerait une grave erreur.Une erreur aussi grave que...
    -Que d'avoir transpercé lord Durst de mon épée ,termina t'il à ma place.
    Je hochai la tête et il caressa mes lèvres du bout du pouce,ajoutant dan un murmure:
    -Je ne voudrai pas te perdre ,flamme de mon coeur....
    extrait du tome 2 de l'épopée de Xylara-Vengeance page 102....Ah Kheir!....

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  12. -Gemma pense que tu a besoin d'un passe-temps, dit-elle en observant les boîtes partout autour. Un passe-temps sain. Comme la méthode pilate. ou le catch sur alligator.
    -Je sais, répondis-je en me penchant en arrière et en levant un bras pour me couvrir le visage. J'ai songé à écrire mes Mémoires, mais je n'arrive pas à trouver un moyen d'inclure de la musique de film porno des années 1970 par écrit.

    Charley Davidson, tome 4

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  13. - Tu me dois quand même un million de dollars.
    -Enlève tes habits.
    -Non.
    -Je te donnerai un million de dollars si tu enlèves tes habits.
    -OK.
    Je levai les bras pour retirer mon pull puis m'arrêtai. En le réajustant, je relançai:
    -Je croyais que tu n'avais pas d'argent.
    -Je n'en ai pas. Mais tu peux tout de même te débarrasser de ça.
    -J'ai d'autres questions, repris-je en l'ignorant.
    -J'aurai plus de réponses si tu enlèves ce pull.

    Charley Tome 4, échange entre Charley et Reyes... Miam, miam Reyes!

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  14. -Ce lit est vraiment très dur, me plaignis-je en donnant des coups de poings dans mon oreiller. (...)
    -Tu devrais me grimper dessus. je suis encore plus dur.

    Charley, Tome 4, Charley et Reyes lorsqu'ils partagent un lit...

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  15. dis donc Audrey t'es bien inspiré là avec Charley et Reyes....3 extraits...waouah! il va peut-être falloir que je le lise celui-là...

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  16. -Comment vous êtes rendu compte qu'il était en panne?
    -Hier soir,je travaillais sur ma présentation et tout à coup,plus rien.il n'a pas voulu redémarrer.
    "Et l'oscar de la meilleure mytho est attribué à Julie Tournelle!La salle entière se lève,je remercie le public et je pleure devant le milliard de téléspectateurs qui suit la cérémonie en direct."
    Ric attend de voir si "l'unité central",comme il dit,réagit.Il est calme.Je m'approche encore.Je fais celle qui s'interesse à l'écran noir,mais je ne songe qu'à mon menton qui est à deux doigts de frôler son épaule.Il sent bon.
    -Il a effectivement un problème,lâche-t-il en tentant une combinaison de touches bizarre sur le clavier.
    "Un peu qu'il a un problème.Qu'est-ce que je suis contente!Je ne dirai plus jamais de mal des ordinateurs.C'est formidable l'informatique,même en rade,ça réunit les gens.et ça va durer des heures.Je suis si heureuse que mon ordi soit cramé."
    Je sens la chaleur de sa joue qui irradie sur la mienne.il ne se rend même pas compte que j'ai quasiment la tête posée sur son épaule.C'est trop bien les mecs,ça ne remarque rien.
    Il tente une autre combinaison de touches.On dirait un enfant de quatre ans qui essaie maladroitement de jouer du Chopin sur un piano trop grand pour lui.Le problème,c'est qu'il réussit à faire une note.L'ordinateur démarre.je me relève brutalement,stupéfaite que l'engin puisse fonctionner après mon charcutage."Mais c'est impossible!j'ai moi-même arraché un composant pas plus tard qu'hier soir!Je n'arrive pas à y croire!....
    je suis scandalisée,mais je ne peux rien dire.Ric commence à pianoter sur le clavier.
    -Finalement,ce n'est pas grave,dit-il.Je pense que vous avez dù avoir un micro court-circuit et qu'il a planté.Il à l'air d'installer tout à fait normalement.Ce sera réglé dans cinq minutes.
    La colère me dévaste,je suis folle de rage à l'intérieur.Je vais mettre le feu à cet ordinateur.Quand on veut qu'il plante,il marche.C'est insupportable! Il y a dix mille machins dans cet appareil et j'ai bousillé le seul qui ne servait à rien.

    Extrait de Demain j'arrête de Gilles Legardinier p75 et 76

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  17. Sous la voiture,ça rigole encore.Les voix me parviennent étouffées.Des voix d'hommes.Ca parle jargon mécanique:
    -Bloque le longeron pendant que je passe l'axe.
    -Ok ,mets la clavette.
    Si je reste là sans rien dire,je vais passer une heure à voir bouger des pieds,alors j'ose me manifester.
    -Xavier?
    Violent bruit de choc.Je pronostique une tête contre du métal.
    -Julie?C'est toi?Ne bouge pas j'arrive.
    Xavier se tortille pour s'extraire.Il rigole.Ce n'est pas lui qui c'est cogné.L'autre corps ne bouge pas et gémit.Xavier secoue la limaille de ses vêtements et me demande,hilare:
    -Tu viens chercher ta clé pour le courrier?
    Je n'arrive pas à détacher les yeux des autres jambes,dont le propriétaire commence à s'extirper à son tour.Xavier ajoute:
    -Alors,tu la trouves comment ta porte?
    Son acolyte apparaît enfin.C'est Ric.Je murmure:
    -Magnifique...
    -Qu'est-ce que tu dit?
    -Je dis que ta porte est magnifique.Solide,large d'épaules,bien bâtie,jamais rien vu d'équivalent.
    Xavier se frotte les mains.
    -Je mérite un petit bisou,dit-il en me tendant sa joue.
    Je l'embrasse.Ric se relève en se frictionnant la tête.Xavier pouffe de rire.
    -Quand il a entendu ta voix,il s'est redressé comme un ressort!Tu lui fait de l'effet!
    Les deux rigolent comme des enfants de maternelle.C'en est gênant.Un jour il faudra que quelqu'un m'explique pourquoi les mecs s'entendent aussi vite et aussi bien....

    extrait de Demain j'arrête de Gilles Legardinier page 114 et 115

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  18. -Il t'as parlé de son ballon d'eau chaude?
    -Ouais ,on s'est programmé ça le week-end prochain.Il est bien pourri.
    "Qui est pourri?Ric ou le ballon?"
    D'un revers de manche prudent,Xavier essuie une poussière sur son capot flambant neuf.L'air de rien,il ajoute:
    -Ric ne m'as pas parlé que de son ballon...
    "Quoi?qu'est-ce qu'il a dit?tu sais pour quel service secret il travaille?Avoue ,sinon je prends la clé de ta porte de boîte aux lettres et je te fais une grosse rayure sur ton joli capot,avec un rire sadique et un jeté de tête vers l'arrière."
    -Ah bon?Et quel sujet a-t-il abordé ?
    -L'autre jour ,entre deux questions sur la résistance des métaux,il m'a beaucoup parlé de toi.
    -C'est vrai?
    -Il m'a demandé depuis combien de temps on se connaissait,quel genre de fille tu étais,il voulait discuter de nos amis et même de tes mecs...
    "Xavier ,si tu as parlé, je te jure que je mets le feu à ta bagnole."
    -T'inquiète pas,je ne lui ai rien dit, mais j'ai l'impression qu'il a des vues sur toi,si tu vois ce que je veux dire ..Ceci dit ,je ne sais pas ce que t'en penses ,mais il a l'air d'un mec réglo.
    -Merci Xavier .Merci de ne pas avoir tout balancé....

    3éme extrait ...de Demain j'arrête pages 181 et 182

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  19. -Je t'ai rapporté un petit souvenir.
    Il me tend un paquet -cadeau.A la forme,ça ne peut pas être la poupée qui fait"youpi"!mais je suis pas certaine que ce sera bien quand même.Je le déballe.Une boite.A l'intérieur :un pull brun,doux,épais,superbe.Je crois que c'est un modèle pour homme.Je suis dubitative.
    -Il est magnifique,merci beaucoup.
    -Comme tu sembles aimer les vêtements masculins..
    "Pour que je l'aime autant que ta chemise,il faudrait d'abord que tu le portes pendant un an ,à même la peau.Mais laisse tomber,c'est un truc de fille."..

    Extrait de Demain j'arrête page 283

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  20. Extrait de Tu vivras pour moi d'Élisabeth Tramblay :

    "Autour des flammes naissantes, chacun s'est présenté, même si on s'était tous déjà croisés à un moment ou à un autre. Cinq gars, cinq filles et autant de personnalités, d'expériences douloureuses. Tous sans exception étaient habités d'une puissante volonté de vivre. Ça me faisait du bien de parler de ma maladie avec d'autres. Je me sentais moins seule, mieux comprise. Et c'était ce que j'aimais le plus des activités de Leucan : la possibilité d'échanger, dans un contexte différent de celui d'une salle d'attente, sans obligation, ni pression, avec des jeunes de mon âge, qui me ressemblaient beaucoup tout en étant tellement différents. "

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  21. Extrait d'Une fille à vendre de Dïana Bélice :

    «C’est loin d’être comme on pense. Loin d’être comme dans les films. Tu sais, ceux où la fille mène une p’tite vie parfaite, avec des parents parfaits, dans un quartier parfait, avec des amis tout aussi parfaits ? Où l’amour est simple et bienveillant ? Non, ça se passe pas vraiment comme ça dans mon film… Dans le mien, la fille finit maganée dans un vieux motel miteux. Dans mon film, le prince charmant est un beau garçon aux yeux brillants qui promet la lune pour ensuite me l’arracher à coups de batte de baseball en arrière de la tête. Le personnage principal de mon film, elle, n’a pas droit à une relation amoureuse saine. Non. Elle a droit à une demi-douzaine de gars qui la sautent en même temps… Ce film-là, c’est l’histoire de ma vie. C’est la réalité. Ma réalité. Dure. Crue. Inimaginable. Et si jamais tu te rends là, le seul conseil que j’peux te donner, c’est « bonne chance ».

    Je m’appelle Leïla. Plus précisément, Leïla Anne Desrochers. En tout cas, c’est la personne que j’étais avant que ne se produisent dans ma vie des événements particuliers. Maintenant, je sais plus vraiment qui j’suis. J’avais quinze ans quand c’est arrivé. Je viens d’en avoir seize. Sweet sixteen. Tu parles ! Ce que j’ai vécu dans la dernière année, c’est loin de l’être, sweet. Tu veux savoir pourquoi? Ben, pour raconter une histoire, il faut commencer par le début et comme je pensais que j’étais en train de vivre un vrai conte de fées…

    Il était une fois…»

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