La Guilde de Nod Tome 1 : Genèse

Résumé :

Londres, fin du XIXe siècle. Elisabeth Rosebury, dite Lily, tente d’échapper à un mariage forcé. Elle est sauvée de justesse d’une agression par Guillaume, un vampire mélancolique vivant dans un étrange château. Lily porte en elle un lourd héritage, elle fait partie de ceux que l’on nomme les descendants de la malédiction. Eux seuls peuvent devenir vampires, et Guillaume, forcé par les lois obscures de la Guilde, n’a d’autre choix que de faire d’elle sa première éveillée. Mais cette transformation leur réservera des surprises, elle les entraînera dans une aventure passionnante, à la recherche d’un mystérieux Maître mage…

L’avis d’Alily :

Cécilia Correia était un auteur que je ne connaissais pas encore. Alors quelle joie pour moi de la découvrir avec son livre La Guilde de Nod, qui pour moi, à été une très agréable lecture. L’univers de ce roman est à la fois sombre et chaleureux.

Sombre ? Par le monde des vampires, mages, démons, mercenaires et même prêtres. Tous  sont de la partie. Oublier les prêtes conventionnels. Ceux-ci ne sont pas à l’image que nous nous faisons d’eux.

Tout commence avec Elisabeth, alias Lily, qui se voit contraindre par son père à un mariage. Elle n’est surtout pas d’accord avec ce choix et lorsqu’elle rencontre ce baron, elle fait des choses inimaginables qui nous font sourire et qui nous démontre son caractère de femme rebelle et indépendante. C’est d’ailleurs lors de cette soirée qu’elle rencontre Guillaume. Vampire mage de plusieurs années, il l’éveillera et supervisera son éducation. Mais son cœur meurtri résistera t-il a la beauté et à ce que Lily dégage ?

Chaleureux, sont les personnages. Je parle évidamment de Guillaume, qui pour moi est un être, doux, sensible (trop?), à l’instinct protecteur. Lily aussi est très agréable et attachante. J’ai aussi beaucoup aimé Lamek, le vieux ‘’fou’’. Il m’a fait drôlement rire, et j’ai aimé me le représenter tel qu’il est décrit. Mais mon coup de cœur, il faut se l’avouer, va à Marcus. Décris comme un casanova en matière de femme, il renferme en lui une certaine sensibilité qu’il s’efforce de cacher. Ce qu’il laisse transparaitre de lui n’est que façade. C’est ce qui fait tout son charme, je trouve. Il semble dénué d’humanité, mais plus on le lit, plus on le cerne, plus on l’aime. Le sacrifice de ses sentiments qu’il met de côté me chagrine, d’autant plus que c’est mon petit préféré et j’aurais aimé…

Arrêtons là…sinon, je vais trop me laisser aller sur son sujet.

Bref… point négatif…si on peut appeler ça un point négatif, est la fin. Mais quelle est cette fin ? J’ai beau retourner mon ipad, toucher l’écran en recherche de pages supplémentaires…niet ! Un sentiment de frustration, de lecture inachevée, m’envahie. Je parcours, depuis, internet en espérant dénicher l’information tant recherchée ! Et j’ai trouvé. Enfin…je crois. Sur booknode, La Guile de la nod est décrite comme un “premier” tome.

Alléluia ! Il y aura un tome 2. Je pars à la recherche de plus d’info ! À suivre…